24 Heures, July 21, 1984: Difference between revisions

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A ceux qui s'en-fuient ces jours-ci vers les plages des vacances : renou-velez votre stock de cas-settes voyage ! L'été musi-cal a été plutôt généreux, essayez alors de conserver le plus longtemps possible en mémoire les rythmes qui nous ont fait danser ces deux derniers mois.
Renoncez même à emporter un Stevie Won-der, le dernier Santana ou les disques tristes de Van Morrison. Exception toute-fois pour les cassettes des deux concerts de Miles Davis à Montreux qui cir-culent actuellement : elles supportent aisément tou-tes les latitudes.
Si vous partez vers l'Est, avec le dernier Bruce Springsteen « Born in the USA » (CBS) sous le bras, vous êtes assurés de faire votre petit effet, à la fron-tière en tout cas !
Partout ailleurs, pour bronzer branché, la grande musique des Waterboys Pagan Place (Islande), le « Mirror Moves » (CBS) aérien et sucré des Psychedelic Furs ou le Touré Kunda live (Celluloid), dans un autre genre, sont absolument de rigueur.
J'omets volontairement de parler du « State of Shock » de Michael Jack-son et Mick Jagger en duo, parce qu'avec l'enthou-siasme envahissant des radios, on frise déjà l'inso-lation.
Et puis chacun ses goûts de toute façon...
Il y en a même qui par-tent en vacances sans musique ! Les pauvres ! Si avais des vacances, Sem,. mènerais trois disques. Un double et un simple. Pre-mièrement les quarante morceaux de R. Stevie Moore, réunis sur quatre face : la nord, la sud, l'est et l'ouest. Bien emballé pochette délirante dédica-cée comme l'album à Abel Gance et Tex Avery —New Rose nous livre sans boussole « Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur R. Stevie Moore et que vous n'avez jamais ose demander ». C est le titre du disque. De la com-pilation en fait, puisque cet original épanoui de Moore ne travaille jamais dans l'optique d'un album. En solitaire, R. Stevie Moore (son papa a été dix ans le bassiste d'Elvis Presley) se paie joyeuse-ment la tête de toute l'his-toire de la musique moderne : de A comme Abba à Z comme Zappa, en passant par les Beatles (beaucoup), par Clash et jusqu'à, disons... XTC, le tout sur cassettes, que l'on peut commander au R. S. M. Cassette Club 429, Val-ley Road, Upper Mont-clair N.J. 07043, USA, jus-qu'à ce qu'une petite com-pagnie discographique française rende le travail de Moore plus accessible, en couchant ses délires sur vinyl. D'une conception aussi loufoque qu'expéri-mentale, c'est « le meilleur disque de 1984, à l'aise ! » (Actuel.)


Dans votre sac de plage
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Et Elvis Costello dans cette histoire ? C'est l'autre disque à placer dans votre sac de plage, l'album simple, simple comme bonjour. «Good Bye Cruel World», adieu monde cruel, avant de partir en vacances, le titre de son dixième album en moins de sept ans, est assez explicite. Dix mois à peine après la parution de «Punch The Clock», Costello revient à la charge, et une fois de plus, brouille les règles du jeu en prenant le contrepied du business.


Est-il bien raisonnable, en effet, alors que les bénéfices du précédent chef-d'oeuvre n ont pas fini de tomber de jeter treize nouvelles petites perles en pâture à un public supposé insatiable. Non sans doute. Mais Elvis a une capacité créatrice, un dynamisme
dans l'écriture qui se moquent pas mal de la raison. C'est une somme d'attitudes, qui l'autorise à toutes le déviations musicales (cf. les emprunts au country and western à la soul, au jazz des grands orchestres), à ses comportements légendaires d'antihéros, avec sa dégaine de rond-de-cuir, dans son costume couleur de cendre, sa veste de zazou et ses lunettes de potache. Alors peu importe l'angle par lequel on aborde son oeuvre : Elvis Costello, c'est LA star, comme on dit LA classe. Avec un grand A, comme artiste...


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[[Jean-Blaise Besençon]] reviews ''[[Goodbye Cruel World]]''.


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   Jean-Blaise Besençon

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Et Elvis Costello dans cette histoire ? C'est l'autre disque à placer dans votre sac de plage, l'album simple, simple comme bonjour. «Good Bye Cruel World», adieu monde cruel, avant de partir en vacances, le titre de son dixième album en moins de sept ans, est assez explicite. Dix mois à peine après la parution de «Punch The Clock», Costello revient à la charge, et une fois de plus, brouille les règles du jeu en prenant le contrepied du business.

Est-il bien raisonnable, en effet, alors que les bénéfices du précédent chef-d'oeuvre n ont pas fini de tomber de jeter treize nouvelles petites perles en pâture à un public supposé insatiable. Non sans doute. Mais Elvis a une capacité créatrice, un dynamisme dans l'écriture qui se moquent pas mal de la raison. C'est une somme d'attitudes, qui l'autorise à toutes le déviations musicales (cf. les emprunts au country and western à la soul, au jazz des grands orchestres), à ses comportements légendaires d'antihéros, avec sa dégaine de rond-de-cuir, dans son costume couleur de cendre, sa veste de zazou et ses lunettes de potache. Alors peu importe l'angle par lequel on aborde son oeuvre : Elvis Costello, c'est LA star, comme on dit LA classe. Avec un grand A, comme artiste...

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24 heures, July 21, 1984


Jean-Blaise Besençon reviews Goodbye Cruel World.

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