Neuchâtel Express, July 13, 1989: Difference between revisions
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«Un blues, pour vous et moi». C'est l'ovation, le délire, la salle élait à nouveau comble pour la première partie de la soirée guitares-lunettes noires de mardi soir. En ouverture, Larry | «Un blues, pour vous et moi». C'est l'ovation, le délire, la salle élait à nouveau comble pour la première partie de la soirée guitares-lunettes noires de mardi soir. En ouverture, Larry Carlton, qui a | ||
littéralement soulevé le public dans tous les sens du terme, car c'est un virtuose de la six cordes. Californien, Carlton a longtemps hanté les studios, accompagnant des artistes du calibre de Quincy Jones, Paul Anka, Michael Jackson ou John Lennon. Un répertoire hétéroclite, passant du jazz-rock au pot-pourri de quelques gemmes seventies, et un moment magique, un blues, seul et unique, preuve ultime de l'existence du feeling chez les requins de haute mer. | littéralement soulevé le public dans tous les sens du terme, car c'est un virtuose de la six cordes. Californien, Carlton a longtemps hanté les studios, accompagnant des artistes du calibre de Quincy Jones, Paul Anka, Michael Jackson ou John Lennon. Un répertoire hétéroclite, passant du jazz-rock au pot-pourri de quelques gemmes seventies, et un moment magique, un blues, seul et unique, preuve ultime de l'existence du feeling chez les requins de haute mer. | ||
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